Passé Oublié et Chaînes Noires [Libre à tous]

"Eh bien, ma petite, que veux-tu donc savoir, aujourd'hui ? demanda Shiraha.
- Grand-père, vous m'aviez parler de cette étrange espèce, qui a le don d'influancer les dimentions...comença Kitai.
- Oh, je vois. Tu veux en savoir plus sur leurs pouvoir ? repris le vieil homme.
- Non, Grand-père. Mais pourriez-vous me les décrire ?
- Eh bien, je crois que l'heure de véritée a sonnée.Eh bien, ma petite,imagine-toi un humain.
- Les Humains ? Vous parlez de ses créatures se déplaçant sur deux jambes,avec deux bras,deux jambes, une tête, deux oreilles rondes, deux yeux incapable d'utiliser la lumière de la Lune et des étoiles, un nez insencible et une bouche, avec pour la plus part des traits vulgaires et épais ?
- Oui, c'est bien cela, ma petite.
- Mais pourquoi eux ?
- Maintenant, imagine-toi un Aigle Royal blanc. Tout blanc.
- Ces majestueux oiseaux ? Oui, je les vois très bien...
- Prends ses Ailes, agrandis-les et adaptes-les sur le dos de cet Humain.
- Oui, mais ça ne me dis toujours pas comment ils sont...
- Maintenant, imagines-toi un Elfe.
- Un Elfe ? Ces êtres humanoïdes à la vision nocturne, aux oreilles pointues doté d'une formidable ouïe, aux traits fins et gracieux ?
- Oui, oui, c'est bien cela. Maintenant, ma petite. Mélanges ces deux êtres que tu as visionée.
- Ca ferait..."
La jeune fille âgée d'environ dix ans se retourna.
"Si la personne en question est une jeune fille d'environ mon âge... Cela ferais... Une jeune fille au traits fins et grâcieux. Ses yeux sont d'un bleu clair pur, et ses pupilles sont celles d'un chat. Dans son dos se dresse deux majestueuses ailes d'un blanc éclatant, immaculé. Ses oreilles sont longues et pointues. Ses bras et ses jambes, bien que fins, peuvent révelés une force prodigieuse...
- C'est bien ça, tu as tout à fait raison. Voilà à quoi ils ressemblent."
La jeune fille se retourna, tournant le dos à la glace. Ses yeux étaient écarquillés par la surprise.
"M... Mais... Grand-Père... Cette description... Serions-nous... des... Archeopse ?
- C'est ainsi, malheuresement. Il nous faut l'accepter, mais ne jamais révéler ceci au grand jour, ou notre mort est assurée."
la jeune fille ébahit ne trouva rien à dire.



Cela fais quatre ans, maintenant, que j'ai appris la vérité. Depuis, je m'entraîne en secret avec Grand-père Shiraha, maman Yuugiri et Papa. C'est alors que ça se produisit.

"Shiraha ! Yuugiri ! Aashi ! Kitai !Une attaque !!"

Nous courrûmes tous vers le lieux del'attaque.L'attaque ennemiefut foudroyante. Bien que sur la cinquantaine de soldats présents, vingts tombèrent, nous fûmes vainqus.


"Kitai Ken'bou... Ne l'oublie jamais, dit Shiraha, agonisant dans son sang. Tu es l'Espoir Oublié d'une Espèce Disparue..."

Il ouvrit alors un passage qui me mènerais ailleurs. Il mourut. Je cria. Maman... Papa... Grand-Père... Petit Frère... Petite Soeur... Grande Soeur... Grand Frère... Tous... Tous ! Ils sont tous morts !
Je murmuraun dèrnier adieu à ma famille disparue.
"Tous... Je vous aime. Jamais je ne vous oubierais... Adieu, défunte famille. Puisse ton repos éternel ne pas être déranger."
Le passage m'aspira. J'étais blessée. On m'attaqua alors que j'étais dans le passage. Il se déroula mal.../i]

¤Fin du Flash Back¤

[i]"Tu es l'Espoir Oublié d'une Espèce Disparue..."

Elle étais là, sans mémoire, blessée, épuisée, plaquer au sol sur le ventre, de Chaînes Noires à l'Aura Maléfique l'enchaînant, pleurant. Elle étais là, sur cet endroit désert, sans nul traces de vie, sans aucune chancesde survies.

Le vent m'avait porté bien loin. Je ne voyai plus les champs de bataille sanglants et il n'y avait vraisemblablement personne à cet endroit. Je fus surprise par l'aspect sinistre de l'endroit. Notre course nous avait mené là, Enki et moi. Je me posai doucement, même si cet effort me demandait beaucoup. J'étais exténuée, tellement que je m'écroulai sur le sol, à genous. Le manque de nourriture et de sommeil ne me réussisait pas. Mais nous n'avion pas le choix. Nous étions recherchés à travers le monde entier, mort pour moi, vif pour lui. Alors, un désert n'allait certainement pas me gêner.

Une fos après m'être reposé un peu, je me levai pour marcher un peu. Mais mon ami m'arrêta aussitôt :

-Eh Ryurin ! Tu vas où comme ça ?

-Nulle part ! Je visite, c'est tout. TU m'accompagnes ?

-Ouaip !

Ensemble, nous commençâme notre exploration. Malheureusement, le paysage ne changeait guère. IL n'y avait vraiment rien, personne , même pas un animal ou une plante. Un vrai désert en quelques sortes. Pendant que je regardai le ciel, j'entendis un faible sanglot et je trébuchai sur quelque chose; Je m'affalai par terre dans un gémissement de douleur.

-Ryurin ! Est ce que ça va ?

-humm moui mais sur quoi ais-je...

Une jeune fille ailée se tenait là. J'avais trébuché sur son corps allongé par terre. Elle avait l'air plus agée que moi, mais tout aussi mal en point et triste.

-Oh ! Excuse moi... Je suis vraiment désolée...Mais.. D'où tu viens pour être ici maintenant ? Il n'y a personne...

La jeune fille ne répondait pas. Je me demandais si elle était muette ou pas, ou estc e seulement pour une tout autre raison. Enki s'approcha et se plaça à mes côtés, visiblement prêt à partir si elle réagissait mal. On était des hors la loi désormais, des enfants privés de leur liberté.

-Tu ne parles pas ? Oh, je ne me suis pas présentée... Je suis Ryurin, et derrière moi, c'est Enki. Et toi, qui es tu ? Tu peux nous parler ?

Deux enfants un peu plus jeunes que moi arrivèrent. La jeune fille qui ressemblaitfortement à un Archange trébucha sur moi.
-Ryurin ! Est ce que ça va ?

-humm moui mais sur quoi ais-je...

Moi, je ne sentais plus rien. Je ne voyais plus rien. Je n'entendais plus rien. Je ne savais plus rien. Mes blessures, sur tout le corps,mela,çaient.Je me remis à pleurer de plus belle. Mes deux bras étaient tendus devant moi. J'aggripa la terre. Les Chaînes Noires à l'Aura Maléfique entravaient mon corp, mes Ailes. Entravaient ma libertée.

La jeune fille ailée ne me répondait toujorus pas. C'est là que je remarquais qu'elle était enchainée. Des chaines noires parcouraient son corps, la retenant prisonière. Et je n'avais pas remarqué ça avant ! JE ressentais sa douleur par se ssanglots desespérés. J'eus mal pour elle, un grand pincement au coeur. Remontée à bloc, je tirai sur les chaines de toutes mes forces pour les casser.

-Qu'est ce que tu fais ?

-Humm ça se voit non ? J'essaie de la libérer ! Aide moi !

-Et si c'était une erreur de la libérer ?

-Je te signale que si elle est attachée, c'est peut-être parce qu'elle est hors la loi, mais on l'est nous aussi ! Aide moi s'il te plait !

Il me fit signe de m'écarter. Au début, je ne voulais pas mais lorsque j'ai vu ses griffes s'allonger, je compris qu'il faisait une transformation partielle pour couper ses chaines noirs. Autour de celles ci, je sentai une énergie noire et malfaisante que je crus défaillir. D'un geste vif, Enki trancha ces fils noirs qui entravient la pauvre malheureuse. Je sentis son corps se détendre. Je ne pus réprimer un sourire. Enki, par contre, doutait toujours un peu mais je ne pouvais que comprendre. Il avait du mal à se croire hors la loi. JE le fécilitais d'un regard avant de m'inquiéter sur le sort de la fille.


-Tes chaines sont brisées... Est ce que tu peux parler à présent ? Oh mon dieu !

Je vis les multiples blessures qu'elle avait sur le corps. Je prie mon habit déjà en lambeaux pour le déchirer et appliquer les bandes de tissus sur les plaies les plus graves, tout en les nettoyant un peu avec de l'eau et quelques plantes que j'avais récupéré avant de partir.

-T'inquiète, ça va aller...

Ryurin, puis-ce que tel était son nom, tira sur mes chaînes pour tenter de me libérer.
-Qu'est ce que tu fais ?
-Humm ça se voit non ? J'essaie de la libérer ! Aide moi !
-Et si c'était une erreur de la libérer ?
-Je te signale que si elle est attachée, c'est peut-être parce qu'elle est hors la loi, mais on l'est nous aussi ! Aide moi s'il te plait !

Je ne vis pasce qu'ils firent, mais Ryurin ne tirait plus sur mes chaînes. C'est alors que je sentis la pression des chaînes disparaître.

-Tes chaines sont brisées... Est ce que tu peux parler à présent ? Oh mon dieu !

Elle vit sûrement les multiples blessures recouvrant mon corps, car elle se mit à les panser.

Jeu 3 Sep - 19:59

La jeune fille ailée ne me répondait toujorus pas. C'est là que je remarquais qu'elle était enchainée. Des chaines noires parcouraient son corps, la retenant prisonière. Et je n'avais pas remarqué ça avant ! JE ressentais sa douleur par se ssanglots desespérés. J'eus mal pour elle, un grand pincement au coeur. Remontée à bloc, je tirai sur les chaines de toutes mes forces pour les casser. -Qu'est ce que tu fais ? -Humm ça se voit non ? J'essaie de la libérer ! Aide moi ! -Et si c'était une erreur de la libérer ? -Je te signale que si elle est attachée, c'est peut-être parce qu'elle est hors la loi, mais on l'est nous aussi ! Aide moi s'il te plait ! Il me fit signe de m'écarter. Au début, je ne voulais pas mais lorsque j'ai vu ses griffes s'allonger, je compris qu'il faisait une transformation partielle pour couper ses chaines noirs. Autour de celles ci, je sentai une énergie noire et malfaisante que je crus défaillir. D'un geste vif, Enki trancha ces fils noirs qui entravient la pauvre malheureuse. Je sentis son corps se détendre. Je ne pus réprimer un sourire. Enki, par contre, doutait toujours un peu mais je ne pouvais que comprendre. Il avait du mal à se croire hors la loi. JE le fécilitais d'un regard avant de m'inquiéter sur le sort de la fille. -Tes chaines sont brisées... Est ce que tu peux parler à présent ? Oh mon dieu ! Je vis les multiples blessures qu'elle avait sur le corps. Je prie mon habit déjà en lambeaux pour le déchirer et appliquer les bandes de tissus sur les plaies les plus graves, tout en les nettoyant un peu avec de l'eau et quelques plantes que j'avais récupéré avant de partir. -T'inquiète, ça va aller...

-T'inquiète, ça va aller...

Je rassembla mes forces. Je réussit àm'assoir. Je préssentais un danger. Je regarda en revanche Enki et Ryurin. Dans mon regard, dansmes pupilles de chat, on pouvait y lire de la reconnaissance.
- Je... je... Qui suis-je ? Je ne sais plus.
Cette étrange phrase que j'avais dans la têteme revint alors. Je lamurlura pour moi même.
- L'Espoir... Oublié... d'une Espèce... Disparue ?
Je ne savais plus. J'étais là, perdue dans mes pensées, et dans mon coeur triste. A ce momant là, on aurait pu voir mes ailes bleues. *L'Espoir Oublié... Serais-je... mon nom seait-ce... Kitai Ken'bou ?*C'est alors que je sentis la terre vibrer. Je me leva, grillant sans doutele peu de force qui me restais. Jemarcha, jusqu'à me trouver dèrrièreles deux jeunes fugueurs. Alors, une horde dégénéré arriva. Je tendis les bras. Je ne saivais pas ce que je faisais. Une sorte de portail noir arriva, et les poursuivants dégénérés se retrouvèrent dedans sans s'en rendre compte... Le portail se ferma, et ils réapparèssèrent ailleurs.Je m'écroula, haletante.

La jeune fille s'assit avec visiblement quelques difficultés. Elle sembali complètement perdue, un peu mal en point. Dans ses yeux qui nous fixaient, je lus un soupçon de reconnaissance, qui me fit sourire. Mais elle avait un regard.. pas telement humain. Le mien était déjà assez spécial en raison de la couleur et de la pureté, comme disent certains. Mais elle, on aurait dit... un animal. Finalement, elle se mit à parler :

- Je... je... Qui suis-je ? Je ne sais plus. L'Espoir... Oublié... d'une Espèce... Disparue ?

Je ne comprenais pas un seul mot de ce qu'elle disait. Avait-elle perdue la mémoire ? Je n'en sais rien. Peut-êtree avait-elle subi un choc important, donc amnésie, mais je ne pouvais pas savoir. J'avais des connaissances plus que limitées. J'allais lui demander le sens de ses paroles lorsque la terre se mit à trembler. La suite fut beaucoup plus surprenante. La fille ailée se leva et marcha d'un pas peu assuré et tendit les bras. Tandis qu'une horde de personnes... bizarres couraient vers nous, une porte noire apparut devant elle et engloutit la bande. La porte se ferma derrière le dernier malade et l'héroine de cet exploit le saissa tomber par terre, visiblement exténuée. Je m'approchai d'elle doucement à quatre pattes.

-Attends... qu'est ce que tu viens de faire là ? Mais... qui es tu ? T'en souviens tu ?

Enki, lui, restait prosté au même endroit, ébahi. Il se mit à parler, lui aussi :

-Je... Je connais... C'est... la manipulation des dimensions... C'est.. Non, ce n'est pas..possible...

-TU sais quelque chose Enki ?

-Oui... elle..elle... est... d'un espèce... disparue.... presque exterminée.... les...

-Les quoi ? Enki, qu'est ce qui se passe à la fin ?

-c'est une Archeopse...

Ryurin s'approcha doucement de moi, àquatre pattes.

-Attends... qu'est ce que tu viens de faire là ? Mais... qui es tu ? T'en souviens tu ?

Enki, lui, restait prosté au même endroit, ébahi. Il se mit à parler, lui aussi :

-Je... Je connais... C'est... la manipulation des dimensions... C'est.. Non, ce n'est pas..possible...

-TU sais quelque chose Enki ?

-Oui... elle..elle... est... d'un espèce... disparue.... presque exterminée.... les...

-Les quoi ? Enki, qu'est ce qui se passe à la fin ?

-c'est une Archeopse...

Je secoua la tête négativement, entièrement perdue et épuisée. Je ne revenais pas moi même de mes exploits.

- je... je ne sais pas... Jeme suis tout à coup retrouver là, dans l'état auquel vous m'avez trouver et...

C'est à ce momant là qu'un fin ruban de soie blanche et un étuit soigneusement astiquer tomba.

- je... Je ne sais pas... Ce qu'il c'est passer...

La fille nia de la tête à l'entente de la réponse d'Enki.

- je... je ne sais pas... Jeme suis tout à coup retrouver là, dans l'état auquel vous m'avez trouver et...je... Je ne sais pas... Ce qu'il c'est passer...

Enki pourtant gardait un air sur de lui.

-Elle souffre d'amnésie...

-Bah ça, je l'avais deviné...

Je regardais la jeune fille, qui avait l'air complètement perdue. Elle avait des ailes, comme moi mais elle était beaucoup plus jolie. Je me demandais bien qui elle étiat vraiment. EN tout cas, on pouvait lire la sincérité dans son regard félin et la preuve qu'elle ne mentait pas, car elle avait surtout l'air perdue. Sur le coup, je me crus presque plus agée, puisque j'avais une responsabilité. Je n'allais tout de même pas la laisser seule à son triste destin ! Mais ce n'était pas ça mon plus gros problème.

-TU ne te souviens vraiment de rien ? As tu un nom au moins ?

-En tout cas, je suis à peu près sûre que c'est une Archeopse. Je l'ai appris lorsque j'étais chez moi. Il n'y a personne d'autres pour maîtriser les dimensions, et même dans son physique. Elle doit être recherchée aussi, si c'en est une. Le monde veut les supprimer par jalousie, vraiment stupide comme raison... JE propose de ...

-L'emmener avec nous. J'avais prévu ça.

Je me tournai vers la jeune fille, qui avait suivi la conversation :

-Diis, ça te dit de venir avec nous ? C'est très mouvementé et dangereux, mais on ne peut pas te laisser seule ici... Alors, tu veux bien ?

Elle souffre d'amnésie...

-Bah ça, je l'avais deviné...
Ryurin me regardais.
-TU ne te souviens vraiment de rien ? As tu un nom au moins ?

-En tout cas, je suis à peu près sûre que c'est une Archeopse. Je l'ai appris lorsque j'étais chez moi. Il n'y a personne d'autres pour maîtriser les dimensions, et même dans son physique. Elle doit être recherchée aussi, si c'en est une. Le monde veut les supprimer par jalousie, vraiment stupide comme raison... JE propose de ...

-L'emmener avec nous. J'avais prévu ça. Diis, ça te dit de venir avec nous ? C'est très mouvementé et dangereux, mais on ne peut pas te laisser seule ici... Alors, tu veux bien ?

... Je ne savais que répondre.
- ... La seule chose dont je me souvienne est une phrase... Mais... Simes conclusions sont justes, alors peut-être serais-je Kitai Ken'bou... En revanche, cela ne sert à rien de précipiter le départ. Personne ne viendra iciavant un momant.
Je ramassale ruban et noua mes cheuveux bruns en unelongue tresse. J'attacha au bout le ruban blanc. Un étrangemotifque je n'avais pas relarquer auparavant y étais gravé... Je ramassa l'étui et le rangea. Ca ne laissait pas de doute, Ryurin et Enki étaient en fuite... Mais qui fuyent-ils ?

- ... La seule chose dont je me souvienne est une phrase... Mais... Simes conclusions sont justes, alors peut-être serais-je Kitai Ken'bou... En revanche, cela ne sert à rien de précipiter le départ. Personne ne viendra iciavant un momant.

-Bien Kitai ! L'ennui, si on reste ici, c'est qu'on va finir par mourir. IL n'y a pas un coin d'eau potable, ni de nourriture. Mais je pense qu'on devrais se reposer un moment ici... Toutes ces poursuites m'ont épuisées...

-Pour ta mémoire, le temps te fera retrouver des fragments... C'est tout ce qu eje sais sur ce sujet..; Désolé

Je m'allongeai sur le dos. j'étais si fatiguée... Je me demandais quelque fois si la fuite avait été la meilleure solution mais je ne la regrettais pas. Au moins, j'étais dispensée de corvées. Et puis, j'aurais pu finir par mourir là bas. Maintenant, si j'y revenais, je serais tuée sur le champs. Mais pour Enki, ce n'était pas mieux. Il devait succéder à son père, une chose dont il se passerait bien, sauf qu'il n'avait qu'un fils.

-Au fait, Kitai ! Si tu voyages avec nous, je pense que ce serait bien que tu sache de quoi nous sommes accusés pour être poursuivis. En fait, on s'est enfui ensemble. J'étais une esclave de son père depuis ma naissance. Et Enki m'a aidé à me si=ortir de cet endroit où j'allais à la rencontre de la mort.

-Moi, je suis sensé succéder mon père dans son règne de clan. Mais je n'en ai pas la moindre envie. MAis je suis son seul fils et me cherche à tout prix. Contrairement à Ryu-Ryu, je suis recherché vivant. Mai je préfère mourir plutôt que de me faire attraper...

-Ah les adultes... Toujours aussi compliqué pour pas grand chose ! Si seulement on était libre, et tous amis ! Il sne pensent qu'à leur ambition personnel ! TU m'étonnes que la vie n'est pas rose après ! Tous ces batailles n'étaient pas utiles...

- Bien Kitai ! L'ennui, si on reste ici, c'est qu'on va finir par mourir. IL n'y a pas un coin d'eau potable, ni de nourriture. Mais je pense qu'on devrais se reposer un moment ici... Toutes ces poursuites m'ont épuisées...
- Pour ta mémoire, le temps te fera retrouver des fragments... C'est tout ce qu eje sais sur ce sujet..; Désolé

Ryurin s'allongea. Moi, je restais assise,à contempler bêtement mes mains, me demandant d'où venait cette étrange facultée.

-Au fait, Kitai ! Si tu voyages avec nous, je pense que ce serait bien que tu sache de quoi nous sommes accusés pour être poursuivis. En fait, on s'est enfui ensemble. J'étais une esclave de son père depuis ma naissance. Et Enki m'a aidé à me si=ortir de cet endroit où j'allais à la rencontre de la mort.

-Moi, je suis sensé succéder mon père dans son règne de clan. Mais je n'en ai pas la moindre envie. MAis je suis son seul fils et me cherche à tout prix. Contrairement à Ryu-Ryu, je suis recherché vivant. Mai je préfère mourir plutôt que de me faire attraper...

-Ah les adultes... Toujours aussi compliqué pour pas grand chose ! Si seulement on était libre, et tous amis ! Il sne pensent qu'à leur ambition personnel ! TU m'étonnes que la vie n'est pas rose après ! Tous ces batailles n'étaient pas utiles...

Je ressortis l'étui qui étais tombé un peu plus tôt. Je sortis ce qu'il y avait à l'interieur. Entre mes mains se tenait un objet étrange. le sommet ressemble à un bec, avec un trou en son centre. En déscendant, la forme devient circulaire. Des trous parsèment le "manche". Le bas,un peu plus large, est lui aussi cilindrique sur les côté. Le bas est plat, et un trou apparait en son centre. Mes mains agirent toute seules. Elles portèrent l'étrange objet qui est en fait une flute à mes lèvre. Je soufla dedans, tandis que mes doigts bouchèrent et débouchèrent les trous au rythme d'une mélodie dont mon corps se rappelait, mais pas mon esprit. on pouvait lire dans mon regard une surprise sans fin.

Une mélodie retentit soudainement. J'étais un peu endormie et elle m'avait réveillée. Je me retournait pour voir Kitai jouer de la flûte. Elle avait l'air perdue. Comme si elle ne savait pas ce qqu'elle faisait.

-Tu joue bien...

MAis elle ne semblait pas comprendre ce qu'elle faisait. Son corps se souvenait de ce morceau, le jouant parfaitement, mais son esprit était voilée. JE n'avais jamais vu ça. Enki lui aussi, pourtant plus cultivé que moi, était étonné. Je ne savais pas quoi dire et fixait juste la musicienne. L'air me disait vaguement quelque chose, comem si je l'avais entendu lors que mon esclavage. Mais je rêvais peut-être... A la fin de la musique, je luid emandais :

-TU connais le titre de cet air ? Peut-être pas...non... Mais elle me dit vaguement quelque chose...

-MOi aussi, mais je n'en suis pas sur...

Alors que je jouais, ou plutôt que mes doigts jouais, Ryurin me parla.

-Tu joue bien...

Enki et Ryurin me regardaient, ébahits. A la fin du morceau dont mon corps se rappelait parfaitement, ils demandèrent :

-TU connais le titre de cet air ? Peut-être pas...non... Mais elle me dit vaguement quelque chose...

-MOi aussi, mais je n'en suis pas sur...

J'hocha négativement la tête. Je remarqua que, même si certains avaient entendu la mélodie, il n'y avait pas la trace de la moindre vie, si ce n'est que celle des petites bêtes innoffensives qui peuplais certainement cet endroit désert. Je rangea la flute. Puis, je m'allongea. La nuit sera courte, je le savais au fond de moi. Je m'allongea, et fermales yeux, conseillant aux deux autres de reprendre des forces pendant la nuit. Je m'endormis rapidement,tellement j'étais épuisée.

Comme je le pensais, Kitai ne savait rien sur cette mélodie. Son corps avait vraiment agi tout seul, comme un déclic lorsqu'elle a vu l'instrument. Je trouvais quand même ça bizarre. LA fatigue eut raison de nous. Nous nous endormimes un après, chacun notre tour. LA journée avait été éprouvante.

LE lendemain, un légère odeur de viande cuite régnait. C'étiat bien le matin, et lorsque j'ouvris les yeux, je vis Enki à côté d'un petit feu, ne train de griller un petit animal. Il me salua :

-Bonjour Ryu ! J'ai été chassé tout à l'heure, car j'avais senti un animal, et j'ai eu raison de lui. TU peux réveiller Kitai ?

Je hochai de la tête, encore embrumée par le sommeil et secouai doucement l'adoslescente. Elle ouvrit doucement les yeux et je lui dis de se lever. Puis, Enki coupa la viande cuite à l'aide de ses griffes et nous en donnèrnt. Nous mangeâmes rapidement.

-Bien... Maintenant, il faudrait partir d'ici... On ne survivra pas longtemps si on reste là. Nous pouvons retourner là où nous étioons, Enki et moi, ce n'est pas loin , vers l'Est. Mais le plus important, Kitai, c'ets ceci...

-Est ce qu etu est en état de voler ?

La nuit fut courte, en effet. Ryurin vint me secouer doucement. Jeme réveila dans l'odeurde la viande grillée. Enkime donna un morceau de viande que je mangea rapidement. Je me leva. Mes habits étaient en lambeaux pour une raison inconnue, et on pouvait voir à travers les multiples bandages
-Bien... Maintenant, il faudrait partir d'ici... On ne survivra pas longtemps si on reste là. Nous pouvons retourner là où nous étioons, Enki et moi, ce n'est pas loin , vers l'Est. Mais le plus important, Kitai, c'ets ceci...

-Est ce qu etu est en état de voler ?
Je secoua mes alies, encore pleine de poussière. Je n'eut pas beaucoup de mal à les bouger.
- Je... Ca devrais aller. Mais...-
Je m'interrompis. J'avais soudain une fortemigraine.Jeprisma tête dans mes mains. Ca y est, je la sentais. Cette Aura néfaste... Elle approchait... Plus le temps... Sans m'expliquer, je pris la main de Ryurin puis celle d'Enki, puisje me propulsa dans les airs, à la force demes jambes et de mes ailes. Bien que la longue blessure demon aile droite mefasse souffrir, je tenais bon.Les dents sérrés, j'essayais de m'éloigner le plus possible de cette aura.

Kitai commença à répondre mais ne finit pas sa phrase. Je ne compris pas s aréaction. Elle attrapa ma main et celle d'Enki et nous propulsa dans las airs. JE ne savais pas ce qui l'a poussait à faire ça mais je ne pouvais la laisse me porter.

-Lache moi Kitai ! JE peux voler moi aussi !

Elle obtempéra et me^laissa voler. Elle allait assez vite mais j'arrivai à la suivre. Enki, lui, n'était pas trop rassuré. Je comprenais car il n'était pas très tenu. Je lui pris donc l'autre main pour quon le porte ensemble, puisqu'elle ne semblait pas vouloir le lacher. On se posa un peu plus tard, su rune autre ile, à l'ombre d'un arbre. PEndant que je retrouvais mon souffle, Enki retrouvait la joie d'être sur la terre ferme et parla :

-Kitai... Qu'est ce qui t'a pris ?

-Lache moi Kitai ! JE peux voler moi aussi !

J'obtempera et la lacha. Bien quej'allaisassez vite,Ryurin suivait le rythme.Voyant que je n'avais pas l'intention de lacher Enki, elle pris son autre main. Plus tard, nous nous posâmessurune autre île,àl'ombre d'un arbre. Tandis que Ryurin reprenaitson soufle et Enki sa joie d'être sur la terre ferme, je chassa la fatigue. Enki parla.

-Kitai... Qu'est ce qui t'a pris ?
- Cette aura maléfique... Vous ne l'avez pas sentie ? Voyant leursréaction, je continua. Il y avais une aura si sinistre,si maléfique... Si... Si... Terrifiante ! Ellese rapprochait,et hier vous m'aviez dit être rechercher, pour toi, Ryurin, morte, et pour toi, Enki, vivant... Cette aura... Elle ne m'inspirais pas du tout confiance...Le moyen le plus rapide de nous soustraire à cette aura étais la voix des airs...

- Cette aura maléfique... Vous ne l'avez pas sentie ? Il y avait une aura si sinistre,si maléfique... Si... Si... Terrifiante ! Ellese rapprochait,et hier vous m'aviez dit être rechercher, pour toi, Ryurin, morte, et pour toi, Enki, vivant... Cette aura... Elle ne m'inspirais pas du tout confiance...Le moyen le plus rapide de nous soustraire à cette aura étais la voix des airs...

Je n'avais pas senti d'aura. D'ailleurs, je ne pouvais pas en sentir. Enki restait perplexe aussi. Habituellement, il sentait souvent de schoses, grâce à son instinct animal, mais cette fois là, il était tout aussi étonné que moi. IL avaait l'air de regretter sa question qu'il avait posé selon lui un peu trop brutalement. Mais il avait été surpris si vite et n'aimait pas trop ne pas être bien tenu en vol.

-ah...

-NE tout cas... Merci... Si tu as senti que c'était mauvais, ça devait l'être... Profitons de cet endroit pour nous reposer...

Un fruit tomba sur ma tête. Visiblement, c'était une pomme. Enki s'approcha du fruit, pou rvérifier s'il n'était pa stoxiqu eet me fit signe que tout étiat ok. Je croquais dedans et savourai la saveur. Tout en la mangeant, je volai dans pour en prendre d'autre et les distribua avant d'en récupérer pour plus tard. En suite, je redescendis pour m'appuyer contre l'arbre et somnoler un peu. J'avais soudainement envie de dormir, mais je sentais que c'était pas naturel...

-ah...

-NE tout cas... Merci... Si tu as senti que c'était mauvais, ça devait l'être... Profitons de cet endroit pour nous reposer...

Un fruit tomba sur la tête de Ryurin.Ca n'avais pas l'air naturel, le fruit n'avais pas éclater. Enki vérifia si ce n'étais pas venimeux et fis signe que non. Puis, Ryurin vola en chercher d'autres, et nous les distribua.Elle en pris d'autre pour plus tard. Elle mordit dans le fruit, puis s'adossa contre l'arbre pour s'endormir bientôt. Je... Quelque chose... Je sentais quelque chose... Mais quoi ? Je fis signe à Enki de ne pas manger le fruit. Je l'examina un instant avant de le reposer. Jem'envola au sommet de l'arbre, là où je me posa*. j'observa un momant les alentours, avant de m'assoir* et de me plonger dans mespensées. Acemomantlà,à bien observer mes ailes, on pouvais les voir bleues. J'étais dansmon monde, dans mes pensées. On m'en tira, bien plus tard."Un Monde, une Vie, un Rêve..."**
Au fond de moi, je voulais dormir. Mon instainct.

* Contrôl de l'élément de l'air. Kitai a en fait involontairement fait un "sol" stable avec les particules se trouvant dans l'air.
** Le passé de Kitai. Un jour qu'elle était plongée dans ses pensée, sa mère l'en a tiré par cette phrase.
[A savoir : par le passé, les Ken'bou vivaient plus la nuit que le jour.]

Le matin se levait à peine, et le marché se préparait, déjà quelques maigres denrées étaient exposé, et des personnes se précipitaient dessus pour pouvoir en obtenir. Une jeune fille maigrelette de 15 ans s'y baladait, vêtue d'une tenue de combat traditionnelle ainsi que d'un katana dans son dos. Elle marchait le pas pressé, le visage baissé et la frange dans les yeux pour éviter que tous voient sa cicatrice sur son front. Elle passa près d'un stand de viande, où elle en vola rapidement de la viande sécher qu'elle fourra nonchalamment dans son sac avant de partir rapidement et voler un ou deux fruit et un pain. Elle allait partir quand on l'attrapa vivement par le bras, une grosse main vigoureuse la serré assez fort pour lui faire mal, et l'adolescente observa le visage du paysans énervé. Il tenait un poignard dans l'autre main, et avait l'impression de lui en vouloir, d'une voix rude, il cria tout en la secouant comme un pommier, et la jeter au sol.

- Espèce de sale voleuse, rend se que tu a voler.

Il tourna son regard sur la foule qui venait d'encercler la voleuse, l'empêchant ainsi de fuir, et s'écria.

- Y-a-t-il un marchand d'esclave, il y a une voleuse à prendre.

Torou écarquilla les yeux, et se releva brusquement, de longues ailes noires venaient d'apparaitre dans son dos, et dans ce mouvement tous purent voir son front, et sa marque au fer. Quelqu'un dans la foule s'exclama.

- C'est une esclave désertrice, il faut la tuer.

Tout le monde acquiesça en hurlant des insultes vers elles, lui balançant des cailloux. Les caillasses la traversèrent, rendant tout le monde incrédule, et d'un geste vif s'élança dans les aires, et vola rapidement, arriver à une certaine auteur, elle fila droit et finit par s'arrêter loin de la ville. Elle courra en regardant derrière elle, histoire de vérifié que personne ne la suivait, mais ce moment d'inattention lui couta. Ne regardant plus où elle allait, elle percuta quelqu'un de plein fois et fit un bond en arrière, et finit par s'excuser.

- Excusez moi, je suis vraiment désolée, je ne regardait pas où j'allais.

Le noir... Oui, tout était noir autour de moi... JE m'étais endormie ? OUi, surement, mais j'avais mal. Tout mon corps me lançait. Me concentrant sur la provenance, je comprenais qu ece n'était que mes anciennes blessures encore sensibles et non des nouvelles. Je m'étais endormie, oui, mais qu'est ce qui s'était passé ensuite ? POurquoi mon corps me faisait mal ? POurquoi j'étais par terre alors que j'avais le souvenir d'être assise ? POurquoi mes yeux étaient si lourds ? Le fruit ? Peut-être bien oui... Pourtant, je n'avais pas senti le somnifère, Enki non plus... Un poison ? Non, mais peut-être qu ece n'était pas naturel... J'avais mal partout. Une voix me parvint, très faible, qui m'appelait :

-Ryurin...Ryurin...Ryurin...

Je sentais qu'on me bougeait. je ne pus retenir un gémissement de douleur. La voix continua, un peu plus proche, mais je la distinguai mal :

-Ryurin... Réponds moi... Ryurin...

Je voulais me réveiller de ce cauchemar incessant, mais mes paupières pesaient des tonnes. Je ne sentais plus rien, même pas la chaleur de la personne qui me prenait dans ses bras. D'autres voix encore m'appelaient, mais je ne les reconnaissaient pas. Suis je morte ? Non, je ne voulais pas périr comme ça, abandonner mon ami.. et Kitai aussi... De légères secousses se firent sentir. On voulais me réveiller visiblement, mais je n'arrivai pas à ouvrir l'oeil... C'était au dessus de me sforces. La voix qui m'appelait devint plus tremblante. J'y ressentais de la peur :

-Ryurin.. s'il te plait, réveille toi... Ryurin..Ryurin...

Non, je ne voulais pas partir. Je me concentrai, pour essayer de bouger, mais mes mebres étaient trop lourds et surtout tellement douloureux. Vais-je vraiment mourir ? Non, je ne voulais pas... Pas comme ça... J'avais encore des choses à vivre, je ne voulais pas les quitter comme ça... POur une fois qu'on était gentil avec moi... Je voulais me battre, si seulement j'en avais la force. Malgré toute la volonté que je puisais, je n'arrivais même pas à bouger un doigt, même pour signaler que j'étais vivante. Je tentai de parler, d'ouvrir la bouche, mais je n'y arrivais pas.

-Ryurin... Par pitié... Ne meurs pas... Ryurin...

Je réfléchis rapidement, avec ce qui me restait. 2Tais-je vraiment en train de mourir ? Non, je ne pouvais pas y croire... C'était impossible... Une chose encore me maintenanit en vie... Les voix disparurent progressivement, en s'éloignant. Tout redevint encore plus noir qu'avant. JE sombrai dans l'insconscience, mais je ne voulais pas... Je voulais vivre... et je souffrais, pour y rester. Avant d'être complètement envahi dans les profondeurs, je retrouvai mon calme lorsque je remarquais que pendant tout ce temps, je respirai encore, qu ela vie ne me quitterait pas comme ça...

Alors que j'étais dans mes pensées, égarée dans mon monde, dans mon esprit, dans mon Âme, j'entendis qu'on m'appela.

- Kitai ! Ryurin ne se réveille pas !

J'entendis au son de sa voix qu'il étais paniquée. Je sortis de mon monde, déstabilisée. Je tomba, et ne réussi à me reprendre qu'a la dèrnière minute. J'atteris un peu brutalement au sol. Par terre gisait Ryurin, comme morte. Un peu plus loin, une jeune fille, plus agée que moi, se tenait là, habiller en noir, un katana dans le dos. Ses cheveux, en frange, masquait son front, si bien que je pouvait deviné qu'elle aussi était marquée au fer rouge. je marcha dans la direction de Ryurin, et je la secoua doucement. Elle n'eut aucune réaction. Je la secoua alors plus fort. Toujours aucun signe de vie, si ce n'est que son coeur que je peu sentir battre sous mes paumes. Je la pris délicatement, et la remit adossée contre l'arbre.
Voyant que j'allais m'envoler, Enki me demanda ce que je comptais faire. Je lui répondis par un clin d'oeil, et m'éleva légèrement dans le ciel. Je sortis l'étrange instrument, le porta à mes lèvres et laissa mon corp jouer cette étrange mélodie. Au fond de moi, j'éspérais que ça la tirerait de son someil. Etait-ce la bonne solution ? Peu importe, le temps était compté, entre les recherches des deux -ou peut-être des trois, va savoir- fugitifs, et Ryurin qui plongeait sûrement vers la mort. A la fin du morceau, je rangea l'instrument et me tourna vers la jeune fille, qui sans doute ne comprenait pas.
- En prévision à ta question, non, jene connais pas le titre de cet air, et si tu as la sensation de connaître cet air, sache que Ryurin et Enki ont eut la même réaction.

Je me posa au sol. J' m'agenouilla devant Ryurin, et je vis ses yeux légèrement ouverts.
- Enfin de retour parmis nous, Ryurin...

Torou ne comprenait plus tellement rien, une deuxième adolescente un peu plus jeune qu'elle descendit d'un arbre, puis y remonta et y joua de la flute tout en lui disant cela:

- En prévision à ta question, non, jene connais pas le titre de cet air, et si tu as la sensation de connaître cet air, sache que Ryurin et Enki ont eut la même réaction.

et ensuite, la personne qu'elle venait de percutait était en faite Enki, qui était accroupie auprès de Ryurin qui venait de manger un fruit empoisonner. Il était inquiet, enfin, il est vrai qu'elle pouvait en mourir, alors pendant que la flutiste jouait un air étrange, l'esclave désertrice s'agenouilla près de la près-adolescente et dans sa main une boule noir étrange se forma, et disparu laissant ainsi un tube contenant un liquide bleuâtre. Elle donna à boire se liquide et une fois la flutiste descendue et Ryurin réveillé, elle expliqua:

- Ces arbres ne sont présent que sur certaines îles, et sont très nocif. Ils contiennent un dangereux poison inodore et quasi indétectable, d'ailleurs on s'en sert souvent pour empoisonner les gens. J'ai quelques fioles d'antidote, et je sait en fabriquer, à l'avenir éviter d'en manger. Et contente de vous revoir.

Sa voix était froide, neutre, mais ces yeux rouges sang pétillaient un peu plus, ils étaient moins ternes, et attendant la réaction des autres, un souvenir surgit de sa mémoire, le souvenir de ces fruits, et de cette personne...



Une fillette de 3-4 ans habillé des vêtement d'esclaves trop grand pour elle ramassait des feuilles dans un jardin luxurieux, elle était maigre, très maigre, c'est à peine si elle tenait sur ces jambes. Ces cheveux noirs était attaché en une queue de cheval basse et lui arrivaient ver le bas du dos, tandis qu'au dessus de ses rouge sang plein de vivacité encore était affichait une marque au fer ideuse, surplombant son front et marquant son destin à jamais [ Cela ne fait pas un peu trop Neji ? J'en ai l'impression -.-' ]. La fillette qui n'avait jusqu'alors aucun nom, mis à part quelques injures et "esclave" se leva difficilement, les bras remplie de petites feuilles marrons et grises, elle s'avança avec peine à travers les allées et déboucha dans une court où était entassé toutes les feuilles mortes, elle déposa le paquet. L'esclave allait faire demi tour pour continuer son travail quand elle sentit une goutte de pluie tomber sur sa tête, alors, elle eu automatiquement le réflex de regarder le ciel, et tout en apercevant les nuages gris et menaçants, elle aperçut un arbre fruitier, les branches pliant sous le poids de ces boules vertes, ça ressemblait sans hésitation à des pommes et la fillette s'empressa de ramasser une pomme tomber et à terre et la mangea en moins de deux, elle qui souffrait tant de la faim. Mais aussi tôt le fruit engloutie, qu'elle s'écroula, et quand elle se réveilla, une personne ne faisant pas partie du bâtiment la tenait dans ses bras et une fiole vide dans une main. C'était peut être la seule personne qui fut gentil envers elle et pendant 2 semaines ils se virent souvent. Elle apprit rapidement qu'il était un esclave déserteur, et il se nommait Kyoku. Il lui appris beaucoup de chose, de sa nature et son espèce, jusqu'à différencié telles chose ou telles chose.

Mais au bout de la troisième semaines, pendant que la petite porté des paniers et marchait derrière son maître, elle assista avec horreur à l'exécution de Kyoku, qui à ce moment l'avait remarquer, lui avait adressé un immense sourire, et avait prononcé ces paroles, qui elle le savait était pour elle, mais personne d'autre de l'avait compris.
" Les éclave déserteurs, son libre, et leur vie est tout aussi dangereuse qu'un esclave normal, la seul différence, c'est que les déserteurs n'ont plus de maitre. Torou, je suis heureux de t'avoir revue, ma chère fille, oui ce nom t'ira à merveille, désolé."

La hache s'était abattue violemment sur sa tête, puis dans un derniers regard pour sa fille,il s'éteignit, à jamais, sous les yeux ternes de sa filles qui ne devaient réagir, qui devait être l'automate et ne devait rien ressentir, mais dans un silence parfait, ses larmes coulèrent pour la première fois de ses joues.



Une personne la sortie de ses souvenir douloureux, et elle détourna la tête, les yeux plus terne que jamais, le visage plus fermé que jamais.

Je sentis peu à peu que je revenais à moi. Un léger air de musique flottait à mes oreilles, mais très faiblement. J'essayai d'ouvrir mes yeux, et je réussis à effectuer cette action. J'entendis la voix de Kitai, mais elle me paraissait si lointaine. Ensuite, on me fit boire quelque chose, sans que je sache quoi. Ce fut quelques minutes après que je pus réfléchir clairement sans être embrouillé. Quelqu'un se mit à parler, et je reconnus sa voix :

- Ces arbres ne sont présent que sur certaines îles, et sont très nocif. Ils contiennent un dangereux poison inodore et quasi indétectable, d'ailleurs on s'en sert souvent pour empoisonner les gens. J'ai quelques fioles d'antidote, et je sait en fabriquer, à l'avenir éviter d'en manger. Et contente de vous revoir.

JE réussis à confirmer mes doutes. En face de moi se dressait Torou. Encore une fois, elle m'avait sauvé la mise. Je ne pus réprimer un sourire. J'étais contente de la voir. Mais je ne pris pas en compte les mots qu'elle venait de dire. J'étais encore fatiguée, et j'espérais ne pas y rester. Je lui répondis d'une faible voix :

-Moi aussi je suis heureuse de te revoir Torou...

A côté de moi, je n'avais pa sremarqué la présence de Kitai et Enki, visiblement soulagés de me voir en vie. Je repris considération des paroles de Torou. J'avais pu mourir d'un simple fruit. POurquoi n'avais je rien appris ? Si j'avais su, j'aurais pu éviter un tel problème. Je m'en voulais. Enki, comme s'il avait lu dans mes pensées, me répondit :

-Ce n'est pas de ta faute...

Au fond de moi, je le savais. Je n'avais pas choisi d'être esclave, du moins en souvenir. Personne ne choisit une telle vocation. personne. Nous ne sommes victime que de notre destin, qui choisit ce que nous devenons. Mais il ne tient qu'à nous de s'en séparer.

- Ces arbres ne sont présent que sur certaines îles, et sont très nocif. Ils contiennent un dangereux poison inodore et quasi indétectable, d'ailleurs on s'en sert souvent pour empoisonner les gens. J'ai quelques fioles d'antidote, et je sait en fabriquer, à l'avenir éviter d'en manger. Et contente de vous revoir.
-Moi aussi je suis heureuse de te revoir Torou...
-Ce n'est pas de ta faute...

Moi, j'étais là, j'écoutais, sans vraiment savoir que dire. Sans vraiment savoir que faire. Sans rien savoir, au fait. Qui étais-je ? Que faisait-je ici ? Je ne sais pas. Je ne sais plus. Ou du moins, je ne sais rien. Je ne connait même pas le nom de cet air que mon corps joue tout seul. Je n'ai pasma place, ici. JE le sens. Comme si je n'avais pas le droit d'être en vie. Alors que les trois adolécents discutaient, je m'envola le plus silancieusement possible. Je m'envola, haut, sans vraiment chercher à aller quelque part, réfléchissant simplement à ce que je peux faire.